246 GROS (s) CARACTÈRES (s)

Dauphiné, 1930. A l'orée de la forêt de Chambaran, entouré de sa mère et de sa grand-mère, Gabriel mène une existence heureuse malgré la vie rude en cette contrée. Germain, son voisin, lui transmet l'amour de la terre, des animaux, de la nature, le goût du travail bien fait. Une tendre complicité s'installe entre l'homme et l'enfant. Pourtant, Gabriel se demande pour quelle raison sa famille a fermé la porte à Germain, pourquoi le fils de ce dernier manifeste à son égard une si grande hostilité. Gabriel devra attendre de longues années pour connaître la vérité...

Dauphiné, 1930. A l'orée de la forêt de Chambaran, entouré de sa mère et de sa grand-mère, Gabriel mène une existence heureuse malgré la vie rude en cette contrée. Germain, son voisin, lui transmet l'amour de la terre, des animaux, de la nature, le goût du travail bien fait. Une tendre complicité s'installe entre l'homme et l'enfant. Pourtant, Gabriel se demande pour quelle raison sa famille a fermé la porte à Germain, pourquoi le fils de ce dernier manifeste à son égard une si grande hostilité. Gabriel devra attendre de longues années pour connaître la vérité...

Les paysans bigourdans sont de drôles de gens. Sentimentaux, vindicatifs, grandes gueules et taiseux... Jean Duthu est de ceux-là. Il raconte sa vie à la façon des conteurs locaux dans les repas de famille. Il parle surtout d'amour, souvent avec esprit, parfois avec désillusion. Les malheurs ne méritent pas que l'on s'attarde sur eux. L'ombre du Pic, invention des anciens, sert à cacher ces malheurs. Cette ombre n'existe pas vraiment, mais elle est le symbole de l'appartenance à la Bigorre. Elle ressemble à un nid. Elle rassemble. C'est pour cela qu'elle existe quand même.

Les paysans bigourdans sont de drôles de gens. Sentimentaux, vindicatifs, grandes gueules et taiseux... Jean Duthu est de ceux-là. Il raconte sa vie à la façon des conteurs locaux dans les repas de famille. Il parle surtout d'amour, souvent avec esprit, parfois avec désillusion. Les malheurs ne méritent pas que l'on s'attarde sur eux. L'ombre du Pic, invention des anciens, sert à cacher ces malheurs. Cette ombre n'existe pas vraiment, mais elle est le symbole de l'appartenance à la Bigorre. Elle ressemble à un nid. Elle rassemble. C'est pour cela qu'elle existe quand même.

L'été 1969 aurait pu se dérouler sans histoire dans ce petit village de l'Aude, si Annabelle une jeune femme mal dans sa peau et ses deux filles - Lise et Élisabeth - n'étaient venues en troubler la sérénité. Ces inconnues arrivées de la ville investissent une vieille maison située au cœur de la commune. Du pain bénit pour les commères du coin ! Confrontées à la vie rurale riche de peines, de joies, de haines et de drames, les trois « intruses » vont tenter de s'adapter. Une histoire d amour, une franche amitié et la découverte des vraies valeurs paysannes d'entraide et de solidarité, les changeront à jamais.

L'été 1969 aurait pu se dérouler sans histoire dans ce petit village de l'Aude, si Annabelle une jeune femme mal dans sa peau et ses deux filles - Lise et Élisabeth - n'étaient venues en troubler la sérénité. Ces inconnues arrivées de la ville investissent une vieille maison située au cœur de la commune. Du pain bénit pour les commères du coin ! Confrontées à la vie rurale riche de peines, de joies, de haines et de drames, les trois « intruses » vont tenter de s'adapter. Une histoire d amour, une franche amitié et la découverte des vraies valeurs paysannes d'entraide et de solidarité, les changeront à jamais.

Septembre 1860 dans le Perche, la gendarmerie du paisible bourg de Bazoches-sur-Hoesne s'émeut : la rumeur accuse Julie Clain, demeurant à la ferme de La Motte, d’être coupable d’infanticide. Une affaire reposant sur le seul rapport d’expertise d’un médecin local et quelques témoignages à charge qui conduiront l’accusée devant la Cour d’Assises de l’Orne. Son avocat, Maître Léon de la Sicotière, personnalité ornaise dont le souvenir est encore très vivace, sera son défenseur... En s’appuyant sur ce fait divers, l’auteur livre un roman où prédomine l’analyse d’une certaine société. Elle emboîte ainsi le pas à d’illustres prédécesseurs et nous invite à méditer sur la fragilité de la justice humaine.

Ursula Gentyl, artiste-peintre, s'est retirée à la campagne et vit dans une modeste maison, la dernière avant la forêt. Elle est surnommée la femme au chien parce qu'elle est toujours accompagnée d'un grand lévrier blanc. Rejetée par sa fille, elle reporte toute son affection sur une gamine solitaire, Clémentine, l'enfant d'une serveuse du café de la Gare, géré par une amie de Joseph Morgeon, commissaire de police. Ecologiste fervente, Ursula est détestée par les chasseurs de la région, et surtout par Pierre Butore, un individu antipathique et jouisseur qui méprise les femmes. Le frère jumeau de Pierre Butore est tué d'une façon aussi tragique qu'injuste. A la suite de cette mort violente, ce dernier reçoit des lettres anonymes. Morgeon est chargé de l'enquête...

Une agression, puis un meurtre ont été commis devant l'usine d'embouteillage de Vichy-Saint-Yorre. Le commissaire Bourbonnais, de retour en France après une longue émigration au Canada, mène l'enquête. S'il se réserve les investigations lui permettant de visiter la région et au delà, il s'appuie volontiers sur ses adjoints, la sympathique inspectrice principale Maryse Ancelin et le bouillant inspecteur Lacaze, fins limiers et chargés aveclui d'élucider ce mystère. A ce titre, il n'est pas interdit, pour arriver à ses fins, d'accepter à l'occasion un petit café ou un pastis qui aident à délier les langues...

Le commissaire Frolot et véronique, sa compagne, lieutenant de police judiciaire, s'envolent pour le Bénin. A peine débarqués, ils sont mêlés à une sombre histoire de vol d'une poupée "fétiche" retrouvée par le commissaire de Cotonou dans la chambre de Frolot. Embarqués au poste de police, mis en prison pour 24 heures et libérés à la condition de ne pas quitter l'hôtel, Frolot et Véronique décident alors de mener l'enquête de leur côté, aidés par leurs "guides" Komla et Napoé.

En ce XIXe siècle, à Apremont, village de six cents âmes, deux partis s'affrontent : les partisans du développement industriel, dirigés par le docteur Ozane, républicain et moderniste, et ceux, qui souhaitent lui conserver son âme ancestrale en maintenant le monde agricole et les traditions. Ces derniers sont dirigés par Fleury. Mais les enfants respectifs de ces opposants politiques, Pierre Ozane et Suzanne Fleury, s'aiment passionnément et veulent se marier... Les querelles électorales seront-elles plus fortes que l'amour que se sont juré les deux fiancés ?

1990. Juliette, citadine et célibataire proche de la quarantaine, rêve de changer de vie et de se marier à la campagne. Enfant, elle y passait ses vacances et en garde une vision idéalisée. Une vieille parente arrange alors une union avec son filleul Maxime, exploitant agricole en Lozère, à la Servagère. Les deux promis s'épousent sans vraiment se connaître...

L'auteur, née à Oran d'un père d'origine prussio-française et d'une mère d'origine espagnole, passe son enfance en Algérie durant les années 50 et 60. Elle doit ensuite quitter son pays, comme tant d'autres, pour rejoindre la France.
L'auteur nous raconte ici son enfance en Algérie, avec ses moments historiques, ses instants intimes, et la peine pour une petite fille de devoir quitter son pays.

Margot, graphologue, a décidé seule de louer un studio à Paris, rue des Feuillantines. Ce qui pourrait s'apparenter à une garçonnière reste sa bouffée d'oxygène. Pourtant, elle aime Antoine, son mari, mais aussi Alexis, son jeune amant, qui l'émeut et la touche corps et âme. Comment vivra-t-elle cette situation insolite, éprise de deux hommes dont elle ne peut se passer ?

Porteur des valeurs d'une époque troublée, Fiévée, avec une maîtrise parfaite et une grande sobriété, raconte l'histoire d'une jeune fille du peuple mariée, grâce à la dot allouée par sa bienfaitrice, à un parvenu. La révolution entraînant la chute de Madame de Senneterre, c'est à son tour Suzette qui va pouvoir aider sa bienfaitrice... Pourra-t-elle pour autant vivre aux yeux de tous son amour pour le fils de cette dernière ? Grand succès de 1798, "la dot de Suzette", premier roman Empire, fit en son temps les délices de la société.

Une histoire vraie, un amour impossible, une guerre interminable. Justine, une jeune fille bretonne tombe amoureuse d'un soldat de son âge en 1944 - un soldat qui ne portait pas le bon uniforme. Ce dernier a été envoyé dans un de ces camps pour prisonniers allemands aux USA, si confortables que les Américains les appelaient les « Ritz des Fritz ». Grâce à sa mère, Justine ne sera pas rasée et elle n'aura pas reçu de nouvelles de son amour interdit. Avant la chute du mur de Berlin, en 1989, Justine se rend en Allemagne chez sa cousine Marie. Elle n'avait jamais parlé auparavant de cette histoire d'amour interdite. Va-t-elle maintenant le retrouver ?

Récit de vie du docteur Charles Socquet (année 60).

Récit de vie du docteur Charles Socquet (année 60).

Josette, 20 ans, fraîchement nommée institutrice à Trente-Planes, débarque un jour d'automne dans un hameau isolé de haute montagne. Cette citadine à forte personnalité devra faire face à des habitants peu accueillants, médisants et rustres. Malgré sa déception à l'égard de son métier si peu valorisé dans ce monde rural, reculé, et inhospitalier, sa rencontre avec Marcel, le beau paysan aux yeux verts lui permettra-t-elle de trouver soutien et réconfort ?